
La question de la violence, Silmiyya ou non ? a traversé ce que certains acteurs marginaux à la grande mobilisation populaire de février à début mai 2019 ont dénommé Hirak. Plus tard, des analystes de plus en plus nombreux, ont admis l’existence de deux périodes distinctes de cet extraordinaire phénomène en dénommant la période post mai 2019 de Hirak 2.0.
Ces acteurs marginaux découvraient leur peu de représentativité quand les couches populaires se sont retirées de la rue estimant suffisants les grands succès réalisés en alliance avec l’ANP. Le passage de la démission du président Bouteflika à la lutte contre tous les acteurs de sa gouvernance et le traitement des dossiers de corruption de ceux qui furent l’âme de cette gouvernance (oligarques, premiers ministres, ministres, walis, etc.) et la ferme décision de l’ANP de s’opposer au système de la « Françalérie » ont joué un rôle décisif dans cette évolution.
L’échec des révolutionnaires colorés et des ONG(s) à réaliser leurs buts de destruction de notre Etat-national les a poussés à débattre des tactiques et/ou des stratégies de rechange. Radio M, la petite radio des grands bobards a accueilli certains de ces débats. Voilà un extrait de l’un d’eux dans le cadre d’une mémoire du temps court de l’histoire.
Source : https://www.facebook.com/watch/medwali2019/
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